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samedi 2 avril 2011



Qui porte si bien ces magnifiques cornes?

mercredi 30 mars 2011

Votre bande dessinée




















Qui remplit la bulle suivante?
(1 commentaire)





Ramages. Danièle.

RAMAGES. Danièle
Le printemps chante dans les buissons …..
Et oui vous connaissez la chanson
Alors avec ceux de Varilhes
Certains diront elle s'égosille
Qu'importe si triste est l'horizon
Tout comme de joyeux oisillons

En cœur l'on chante
Et cela m'enchante.
De cette nuée de volatiles
Oyez maintenant le babil

Tout comme René
Pépie le verdier
Pareille à Monique à la belle gaité
Zinzibule la mésange huppée
Tel l'hypolaïs
Trille Béatrice
Comme la sittelle
Tuite Michèle
Pareille à Claudie
Siffle le Courlis
Semblable à l'alouette
Tire-lire Claudette
Tel le bouvreuil pivoine
Pituite Eliane
Comme la bergeronnette grise
Gazouille Maryse
S'il on entend Nadia
On pense à l'anas crecca
Et qui chuchète comme Dominique
Mais c'est le moineau domestique
Qui Criaille comme l'oie
Ne chercher pas c'est moi

Mais non je n'ai pas oublié.....
Que le roitelet
Zinzinule pareil à Aimé
Qui sans perdre la raison
Nous pond toujours plein d'inspiration
Mélodies et couplets de chansons

Tous ensembles tous ensembles
Sans nous lasser
A l'aide d'Aimé et de René
Frappant les bambous ou le clavier
Sans soucis des quolibets
Dans la joie et l'amitié
Continuons DE CHANTER

dimanche 27 mars 2011

Vers les Loubatières.



Qui pourrait apporter des précisions sur cette
pierre levée...













...et sur ces extra-terrestres.

vendredi 25 mars 2011

Réponse de George Sand à Musset.



Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.


Comment Musset dut-il interpréter cette réponse?

jeudi 24 mars 2011

Témoignage.

LE PENDU

On était en mille neuf cent cinquante trois ou quatre, je ne sais plus très bien. En tous cas, c'était dans les années cinquante, pendant le sacro-saint bal du dimanche soir au dancing municipal de Varilhes, où pratiquement toute la jeunesse du canton se rendait. C'était un dimanche comme les autres. Tout le monde était content, la Varilhoise dans l'après-midi avait gagné, plus rien ne pouvait arriver.

Les filles étaient belles, leurs formes ressortaient dans leurs jupes moulantes à la mode. Les garçons, eux, avaient revêtu leur costume du dimanche. Tout ce monde était assis sur les chaises métalliques autour de tables rondes ou rectangulaires, que l'on avait dépliées. On buvait panachés et diabolos, la bouche engravillonnée de cacahuètes, jugeant, en les regardant évoluer, la mise des filles déjà sur la piste.

Ce bal était animé par plusieurs musiciens installés sur une estrade en coin. Par instants, un l’un d’eux s'approchait du micro pour entonner une chanson à la mode, et la voix nasillarde était restituée tant bien que mal, par les deux haut-parleurs fixés au plafond dans deux coins de la pièce. Le “dancing” était né après la libération comme tant d'autres en France pour laisser éclater la joie de cette liberté retrouvée après les jours sombres de l'occupation.

Le bal battait son plein. C'était minuit passé, l'orchestre venait d'entamer sa série de paso-doble, lançant toute cette jeunesse dans une sorte de farandole endiablée, où même les moins hardis se risquaient avec enthousiasme.

D'abord, ce fut une rumeur, puis une plus grande agitation s'empara de quelques-uns du côté de la porte qui donnait dans le hall d'entrée où se trouvait la cage d'escalier. Ensuite ce furent des cris, de filles surtout ! On en voyait revenir en pleurs dans la salle, apeurées, se cachant le visage dans les mains. Il s'ensuivit une grande cohue, tous se ruant vers l'endroit d'où venait ce remue-ménage pour enfin voir ce qu'il se passait. Les musiciens comprenant qu'il y avait quelque chose d’extraordinaire avaient arrêté de jouer.

On venait de découvrir un pendu dans la cage d'escalier !

L'éclairage un peu blafard empêchait de voir à qui appartenait ce corps d'homme qui se balançait au bout de cette corde accrochée à la rampe du deuxième étage. Qui avait pu mettre fin à ses jours un tel soir de liesse ? Qui ? Il fallut monter au premier, juste à hauteur du corps, pour distinguer les traits de l'infortuné. Stupéfaction !

« - C’est Jojo, s’écria le téméraire qui s’était risqué à s’approcher du pendu !

C’était Jojo, le boute-en-train du village, ce garçon serviable et souriant, estimé de tous !

Il s'était montré au début du bal, venant piquer une cacahuète par-ci, par-là.

« - Tu viens danser, Jojo ? Il n'avait rien répondu, nous souriant, les yeux presque fermés à l'esquimaude, qui lui donnaient un air si malicieux !

Et voilà que cette foule qui avait rejoint le hall et envahi l'escalier, regardait ce corps se balançant légèrement, la tête penchée sur le côté, la bouche un peu entrouverte, tirant légèrement la langue. Les yeux grands ouverts, révulsés, ajoutaient à ce tableau l'horreur qui atteignait son paroxysme. La foule pendant un moment muette, silencieuse, choquée par l'événement, devenait peu à peu plus volubile. Certains se répandaient en paroles, voulant trouver à tout prix une explication au suicide du malheureux. On lisait sur le visage de quelques-uns une pâle frayeur, sur d'autres la stupeur, d'autres encore avec un peu de panique lançaient quelques "mon Dieu ! mon Dieu !"

Les langues commencèrent à se délier.

« - Oui, il faisait sans cesse le clown mais il était sans doute malheureux, dit quelqu’un. On dit que les clowns sont plus malheureux que les autres hommes quand ils retirent leur faux nez ! Peut-être une déception amoureuse ?

- Je l'ai croisé hier, dit une jeune fille. Maintenant que j'y pense, c'est vrai qu'il avait un drôle d'air, même que ça m'a frappée ! J'ai vu sur sa figure les traits de la mort ! Oui ! C'est ça, les traits de la mort ! Ah ! si je m'étais doutée ! »

Ainsi, les dialogues s'instauraient entre les badauds ; chacun donnait sa version. La tristesse d'avoir perdu un ami gagnait maintenant les gens présents.

« - Il faut le dépendre, putain ! dit quelqu'un amené là par la nouvelle qui s'était propagée dans le village. »

On eut l'idée d'aller chercher "Rubiasol" pour voir s'il n'y avait plus rien à faire. (Rubiasol était notre vieux docteur, baptisé ainsi, parce qu’il avait l'habitude d'administrer à tous ses patients ce remède miracle)

On n'en fit rien.

« - Avant de le dépendre il faut aller chercher les gendarmes, dit, dans sa sagesse, un homme âgé qu’on avait tiré de son lit.

- Qu'y a-t-il par terre ? Est-ce de l’eau fit remarquer Emile ?

- Ce n'est pas de l'eau, dit d'un air entendu l’un des musiciens, il a pissé, tous les pendus pissent.

Il avait l'air de savoir de quoi il parlait. Tout le monde regarda cet homme, à la fois, avec effarement et respect. Il devait en avoir vu beaucoup, lui, des pendus.

La nouvelle s'était répandue dans le village. A cette heure de la soirée les bistrots regorgeaient de monde le dimanche et la nouvelle en avait fait le tour :

- Pares que an descuvert un penjat dins l'escala de la comuna.

- Es Jojo que an trovat penjat, aura acabat de nos fa caga !

De tous les cafés, les joueurs de cartes étaient accourus et les mauvais dormeurs avaient été tirés de leur lit par ce tintamarre. La ruelle, derrière la mairie, courte et étroite, était engorgée par cette multitude de curieux venus voir le pendu. Les gendarmes, que l'on avait avertis arrivèrent. Ils eurent du mal à se frayer un chemin dans cette foule qui ne cessait de grossir.

« - Dégagez, dégagez, laissez passer, disaient-ils en jouant des coudes !

Les deux battants de la porte principale avaient été ouverts. On s'écarta pour les laisser entrer. « - Hé bé ! dit le chef en regardant longuement le cadavre pendant, en voilà un qui est tiré d'affaire ! » Vu comme ça, il est vrai que Jojo n'avait plus de soucis à se faire !

Le chef fit ses constatations, mesura, inspecta la qualité de la corde… Le gendarme transcrivait, sur une espèce de carnet noir, ce que disait son supérieur. Après cette longue énumération des faits la décision fut prise de dépendre le malheureux.

Il était difficile de se saisir du corps balançant dans le vide de la cage d'escalier. Après quelques essais infructueux, le chef des gendarmes dit :

« - On va couper la corde, poussez-vous en bas, il risque de tomber !

Tous les "badalucs" qui regardaient la tête en l'air, effrayés par l'éventuelle chute du corps décrivirent d'un mouvement rapide un cercle pour dégager l’endroit où pouvait tomber le corps.

Le chef tira de sa poche son Opinel, plus apte à couper des tranches de saucisson qu’à trancher la corde des pendus, et se mit à caresser la corde avec sa lame.

« - Ne faites pas les cons ! Si vous coupez la corde, je vais me casser la gueule ! »

Le cri emplit la cage d’escalier, semblant venir d’outre-tombe et le corps du pendu se mit à se débattre, gesticulant au bout de sa corde ! ».

Un grand mouvement de recul anima la foule ! Une femme s’évanouit. Tous, blêmes, dévalèrent les escaliers et se précipitèrent à l’extérieur. Dans le mouvement de panique, nul ne s’était aperçu de la supercherie !

Jojo ayant passé la corde sous ses bras se trouvait ainsi soutenu au-dessus du vide et sa mimique avait une fois de plus trompé tout son monde ! Il avait poussé son art de la tromperie jusqu’à répandre sur le sol le reste de son panaché.

mardi 15 mars 2011

Casse-tête mathématique


Au fond d’un puits de 12 m se trouve un escargot.

Pendant la journée, il grimpe de 3 m.

Mais chaque nuit, il glisse de 2 m.

Il commence son ascension de 1er juin à 8 heures.

Quel jour sortira-t-il du puits ?

Réponse interdite à ceux qui ont la bosse des maths

jeudi 10 mars 2011

Enigme





Qui est ce personnage?

mercredi 9 mars 2011

http://www.youtube.com/watch?v=Ca75nGFSYBk

Pour entendre, copier coller sur la bande URL

François Villon (Grand Testament de Maistre François Villon, 1489)

Ballade des dames du temps jadis

Dictes moy où, n'en quel pays,
Est Flora la belle Rommaine,
Archipiades ne Thaïs,
Qui fut sa cousine germaine,
Écho parlant quant bruyt on maine
Dessus riviere ou sus estan
Qui beaulté ot trop plus qu'humaine?
Mais ou sont les neiges d'antan?

Ou est la tres sage Helloïs
Pour qui fut chastré et puis moyne
Pierre Esbaillart a Saint Denis,
Pour son amour ot ceste essoyne,
Semblablement ou est la royne
Qui commanda que Buridan
Fust geté en ung sac en Saine?
Mais ou sont les neiges d'antan?

La royne blanche comme lis
Qui chantoit a voix de seraine,
Berthe au grant pié, Bietris, Alis,
Haremburgis qui tint le Maine
Et Jefanne la bonne Lorraine
Qu'Englois brulerent a Rouan,
Ou sont ils, ou, Vierge souvraine?
Mais ou sont les neiges d'antan?

Prince, n'enquerrez de sepmaine
Ou elles sont, ne de cest an
Qu'a ce reffrain ne vous remaine,
Mais ou sont les neiges d'antan?

François VILLON (1431-1489?), Le Testament

mardi 8 mars 2011

L'énigme de DD Bonnefont.





Cette girouette a une particularité: laquelle?
Oeil de lynx, ta vue ne t'a pas trahi! C'est bien le N qui a été soudé à l'envers.

lundi 7 mars 2011

Faites des bulles.





A quoi songe le chercheur d'énigmes?

Qu'écririez-vous dans la bulle?

vendredi 4 mars 2011

Pour les spécialistes.




A qui appartient cette poitrine?

Vous avez fantasmé pour
Marianne. Bravo pour votre esprit républicain!

jeudi 3 mars 2011

http://www.youtube.com/watch?v=8jnF7Zt1G-A&feature=related

Pour le son: copier coller l'adresse du titre sur la barre URL de l'écran.

L'invitation au voyage

Mon enfant, ma soeur,
Songe à la douceur
D'aller là-bas vivre ensemble !
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble !
Les soleils mouillés
De ces ciels brouillés
Pour mon esprit ont les charmes
Si mystérieux
De tes traîtres yeux,
Brillant à travers leurs larmes.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Des meubles luisants,
Polis par les ans,
Décoreraient notre chambre ;
Les plus rares fleurs
Mêlant leurs odeurs
Aux vagues senteurs de l'ambre,
Les riches plafonds,
Les miroirs profonds,
La splendeur orientale,
Tout y parlerait
À l'âme en secret
Sa douce langue natale.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Vois sur ces canaux
Dormir ces vaisseaux
Dont l'humeur est vagabonde ;
C'est pour assouvir
Ton moindre désir
Qu'ils viennent du bout du monde.
- Les soleils couchants
Revêtent les champs,
Les canaux, la ville entière,
D'hyacinthe et d'or ;
Le monde s'endort
Dans une chaude lumière.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

mardi 1 mars 2011

Enigme


Chouchou conduit les Passéjaires dans la forêt d’eucalyptus. Ils marchent sur un sentier étroit, rectiligne de 11.55 km orienté sud nord. A l’est et à l’ouest sont des clôtures indestructibles.

Ce jour-là, le vent d’autan souffle à 54,26 km par heure. Ils ont parcouru 2,54 km lorsque les pompiers appellent Chouchou pour annoncer qu’un randonneur indiscipliné a jeté un mégot avant le départ, que le feu s’est déclaré et se propage à la vitesse du vent.

Désespérée, Nicole allume la cigarette du condamné, René sort la prune de son sac et les dames se prosternent au pied de Robert Taylor pour obtenir un dernier frisson. Que fait Chouchou pour sauver le groupe ?

Chouchou a demandé les allumettes à Nicole et a allumé un feu devant lui. Comme ce feu a lui aussi avancé à la vitesse du vent, ils ont eu la voie libre.

dimanche 27 février 2011

L'énigme de Dédé Bonnefont




Madame et Monsieur SAINTMALOALANAGECESTPASDELATARTE ont un fils, comment l'ont-ils prénommé ? Je donnerai un indice si nécessaire.

jeudi 24 février 2011





Qui peut expliquer les traces figurant sur le caillou de René?

mercredi 23 février 2011

Cette histoire vous a-t-elle plu?

Le chot. Le hibou.

La-haut, sur la montagne, au-delà des crêtes du Saint-Sauveur, il y a une vielle maison écroulée, ruinée, à moitié démolie, servant d'un côté d'étable et de l'autre de logement de berger. Elle s'appelle Belvésé (Bellevue).
C'était autrefois une de ces demeures de maître qui dominait au loin toute la campagne. Ses limites étaient à perte de vue. Mais depuis l'époque de Monsieur Larroupit, le vieux patron mort il y a quelques années, tout était resté sans soin et à l'abandon. C'était un méchant homme d'une avarice sans pareille. Personne ne pouvait vivre à ses côtés; on disait qu'il n'aimait que l'argent et l'or et qu'il en avait caché, qui sait combien et qui sait où?
Donc, dans cette étable de Belvésé, il y avait un maigre troupeau d'une centaine de moutons et dans la vieille demeure, Pascalou, le berger; un brave homme de berger qui s'étiolait en étudiant les variations du temps sur les coteaux ventés du Saint Sauveur, en faisant paître son bétail.
Un jour, Pascalou garait ses bêtes sur ce plan pelé qui penche vers Vernajoul, lorsqu'il vit arriver un Monsieur, vêtu de fourrure qui, dans le teuf teuf de sa moto, vint s'arrêter sous son nez.
- " Connaissez-vous Pascalou, dit-il?
- C'est moi, Monsieur, répondit le Berger.
- Tenez, Monsieur Larroupit fils vous envoie ceci, dit l'homme en lui mettant dans la main quelques feuilles de papier bleu... Et si, le mois prochain, vous ne lui avez pas payé les cinq ans de fermage en retard, il fera vendre votre troupeau. Je suis l'huissier chargé de vous en informer!".
Et voilà notre homme qui retourne sa machine, la fait courir un moment, saute à cheval sur la selle et s'en va.
Le pauvre Pascalou tournait et retournait dans ses doigts son papier bleu, comme devenu idiot. Il pensait que cette maudite vie, si méchante, si dure, ne lui promettait pas de fleurs.. Misère de sort! Lui qui avait une pauvre femme et trois petits enfants à nourrir! Lui qui avait souffert souffert pendant toute son existence et qui venait de tirer cinq années de guerre terrible dans la "Coloniale". Cinq ans, là-haut, dans cet enfer des tranchées..."Ah! malédiction!, éclata Pascalou en dressant un poing courroucé qui froissait le papier bleu de l'huissier.
Le soleil déclinait vers les sommets pyrénéens et la nuit approchait. Pascalou siffla son chien et, suivi des brebis s'achemina vers la maison. Il était tout seul dans sa demeure : sa femme et ses enfants étaient descendus à Foix ou ils avaient été invités...
Pour chasser ses tristes idées, Pascalou décida de faire un grand feu.Le bois ne manquait pas, il était entassé derrière la maison.. Il eut bientôt charrié un gros tronc de chêne et une brassée de brindilles. Le feu montait haut, bien haut dans la hotte de la cheminée.
Pascalou, assis devant son grand feu, songeait. Le chien ronflait apaisé par la douce chaleur ronflait...
Et le feu toujours avivé montait haut, toujours plus haut, si haut qu'on eut dit qu'il allait atteindre les poutres. Tout à coup, on endendit dans la cheminée comme un long frémissement, quelque chose qui s'agitait près du toit... Le frôlement descendit et, dans la flamme, un déluge de suie, de pierres, comme si la vieille maison se démolissait. Le feu en était presque éteint. Un gros hibou, les ailes brûlées et à demi-mort roula au milieu de la cuisine.
Pascalou effrayé avait fait un saut en arrière pour saisir un manche de houx: son bâton de pâtre. Cependant, le chien s'était dressé et, d'un coup de dent, avait brisé les ailes du gros oiseau. L'émotion passée, Pascalou s'approcha pour remettre en ordre les tisons un peu éparpillés. Que vit-il alors? Au milieu des cendres, parmi les débris de suie, une jolie cassette de métal que la chute avait entr'ouverte et qui était emplie d'écus, de pistoles et de louis d'or; le berger en eut un choc au coeur.
A leur retour de Foix, la femme et les enfants trouvèrent Pascalou avec un papier froissé dans les mains. Ce papier qu'il avait trouvé parmi le trésor avait appris au berger que cette fortune avait été amassée depuis plus de cent ans par Larroupit père et grand- père en volant les brebis, les veaux, les sétiers de blé, les mesures d'avoine, les boisseaux de haricots aux aïeux de Pascalou qui avaient été ruinés.
Ce coffre, ce vieil avare de Larroupit l'avait caché dans un trou de la cheminée.

lundi 21 février 2011

Qui suis-je?



Quel est le nom de l'artiste ariégeois qui a signé cette oeuvre?


La Grelotte, tu as trouvé, il s'agit bien de
Roger Grangé.

dimanche 20 février 2011

Que font-ils?




Que font ces personnages?

samedi 12 février 2011




Ce sont bien les portraits d'Einstein et Marilyn Monroe
Mais qui est-tu Anonyme pour recevoir le prix de dix millions d'euros qui t'est attribué?