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dimanche 17 mai 2009

Aveu.


Aveu.


Le cœur en feu, le corps de braise,
S’en allait seule courir les prés,
Vit une fleur, ne vous déplaise,
Une fleur rouge dans les blés:

Goutte de sang et de lumière,
Mit sur ses lèvres comme un baiser !
Elle s’en alla, joyeuse et fière,
Dans la splendeur du bel été,

Mena ses pas vers la fontaine
Où toute nue s’alla baigner.
C’est ici que: Oh ! Quelle aubaine !
Georges Brassens vint la croquer.

Sur quatre notes de musique,
La vêtit d’or et de baisers...
De son sourire énigmatique,
S’en vint un jour nous l’avouer.

6 commentaires:

Anonyme a dit…

c'est quand meme beau la poésie!

Anonyme a dit…

C'est vrai!
La peinture est-elle aussi l'oeuvre du poète?

Anonyme a dit…

Oui et il s'excuse de vous infliger cela.

Anonyme a dit…

L'artiste est trop modeste!
Nous savourons !

Anonyme a dit…

Comment ne pas être admiratif devant un homme aussi talentueux !!

Une poème d'une grande sensibilité.
Un pastel d'une finesse inégalée,
comment peut-on avoir hérité de tant de dons ??????

A quand ma toile avec une vache ariégeoise..........

Grosses bises Françoise De L'est

Anonyme a dit…

Merci au poète,merci à l'artiste,pour la fraicheur de la fontaine et des mots et la douceur des vers et des pétales de rose .. ou d'églantine